Dunbury Delusion de Charlie Miller
Je continue mon tri des tours mis de côté depuis 3 ans, et je retombe sur "Hommage à Fechter" de John Carey, qui est sa version de "That's It" d'Eddie Fechter, laquelle est une variante du célèbre "Dunbury Delusion" de Charlie Miller.
A l'origine, une carte est choisie dans un jeu, perdue dans le jeu, le magicien montre des cartes qui, pour lui, ne sont pas la bonne, alors qu'en fait une est la bonne. En conclusion, le magicien arrive à déterminer quelle est la bonne carte, du moins le suppose t'il, mais le spectateur l'ayant déjà vue poser sait que ce n'est pas possible, et pourtant si.
Bon, un peu compliqué je l'avoue.
Les versions usuelles utilisent un jeu complet, John Carey, lui, n'utilise que 5 cartes. C'est quand même, à mon avis, moins fort de retrouver une carte parmi 5 qu'une carte parmi 52, non ? Surtout que le mélange supposé perdre la carte regardée par le spectateur est fait par le magicien.
En plus, comme dans les autres versions, les cartes montrées autres que la carte choisie sont des cartes quelconques, dont on ne fait rien à la fin. Dommage.
Dans les années 70 ce tour était un classique, que j'ai donc appris de Duvivier, et c'était la version que tout le monde faisait à l'époque. Avec un jeu complet, une présentation amusante jouant sur la différence entre les magiciens amateurs et les professionnels, et à la fin les cartes quelconques montrées se révèlent être les 4 as. Et la présentation rend la partie technique (prendre un break au-dessus de 5 cartes) beaucoup plus facile. C'est quand même bien mieux que les autres versions, et surtout celle de John Carey.
En fait, plus ça va, plus je me dis que les tours "classiques" des années 70, du moins les versions de cette époque, étaient quand même de sacrés bon tours.
C'est vrai que je ne les fait plus, mais du coup quand je vois la daube que l'on nous sort régulièrement je me dis que ça vaudrait le coup de les travailler.
En fait je les connais toujours, les ayant tellement faits à cette époque, c'est juste qu'il faut que je me les remette dans les doigts.
On va y songer ...
A l'origine, une carte est choisie dans un jeu, perdue dans le jeu, le magicien montre des cartes qui, pour lui, ne sont pas la bonne, alors qu'en fait une est la bonne. En conclusion, le magicien arrive à déterminer quelle est la bonne carte, du moins le suppose t'il, mais le spectateur l'ayant déjà vue poser sait que ce n'est pas possible, et pourtant si.
Bon, un peu compliqué je l'avoue.
Les versions usuelles utilisent un jeu complet, John Carey, lui, n'utilise que 5 cartes. C'est quand même, à mon avis, moins fort de retrouver une carte parmi 5 qu'une carte parmi 52, non ? Surtout que le mélange supposé perdre la carte regardée par le spectateur est fait par le magicien.
En plus, comme dans les autres versions, les cartes montrées autres que la carte choisie sont des cartes quelconques, dont on ne fait rien à la fin. Dommage.
Dans les années 70 ce tour était un classique, que j'ai donc appris de Duvivier, et c'était la version que tout le monde faisait à l'époque. Avec un jeu complet, une présentation amusante jouant sur la différence entre les magiciens amateurs et les professionnels, et à la fin les cartes quelconques montrées se révèlent être les 4 as. Et la présentation rend la partie technique (prendre un break au-dessus de 5 cartes) beaucoup plus facile. C'est quand même bien mieux que les autres versions, et surtout celle de John Carey.
En fait, plus ça va, plus je me dis que les tours "classiques" des années 70, du moins les versions de cette époque, étaient quand même de sacrés bon tours.
C'est vrai que je ne les fait plus, mais du coup quand je vois la daube que l'on nous sort régulièrement je me dis que ça vaudrait le coup de les travailler.
En fait je les connais toujours, les ayant tellement faits à cette époque, c'est juste qu'il faut que je me les remette dans les doigts.
On va y songer ...
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