Oil & Queens de Roy Walton
Encore un tour facile, issu du répertoire que je pratiquais il y a 40 ans.
L'effet : le magicien montre qu'il a huit cartes composées alternativement de rouge, noire, rouge, noire, etc ...
Il retourne le paquet faces en bas et pose les quatre premières cartes sur le tapis, en ligne (rouge, noire, rouge, noire).
Il montre qu'il lui reste évidemment deux rouges et deux noires.
Un petit geste, et maintenant il a en main les quatre cartes rouges. Ces cartes sont mises à l'écart.
Le magicien demande alors au spectateur quelles sont maintenant les quatre cartes sur la table, celui-ci va répondre "les quatre noires".
Ces quatre cartes sont alors retournées faces en haut, ce sont les quatre dames.
C'est simple à suivre, direct, rapide, l'apparition des quatre dames est inattendue, les cartes sont sorties d'un jeu quelconque qui peut être emprunté, cette routine est pour moi excellente.
En plus, on peut enchaîner directement sur Les Quatre Dames de Larry Jennings (The Visitor), ce tour étant un très bon moyen de les produire.
La cartomagie a certes évolué depuis les années 70, et je stigmatise souvent ceux qui restent accrochés à cette magie et aux standards et effets de l'époque, mais il n'empêche que certains tours sont des classiques qui ont traversé le temps sans prendre une ride.
Il y a aussi le fait que quand des Larry Jennings et autres de l'époque créaient des routines, c'était quand même très souvent bien meilleur que le même genre de routines créées de nos jours (couplet "c'était mieux avant", j'assume !).
A noter quand dans la version "classique" on fait deux fois un comptage Elmsley.
Pour ma part je fais une version où pour montrer les deux cartes rouges et les deux cartes noires restantes je fais un comptage Ascanio, double dessus.
Cela me positionne automatiquement pour pouvoir montrer quatre cartes rouges.
Recompter les cartes pour "prouver" qu'il y en a bien quatre n'est pas, à mon sens, une bonne idée, surtout si on peut s'en passer.
Pour le spectateur il n'y a que 8 cartes, donc si j'en pose 4 sur la table il m'en reste forcément 8. C'est différent de remontrer l'alternance rouge-noire et juste compter pour compter.
L'effet : le magicien montre qu'il a huit cartes composées alternativement de rouge, noire, rouge, noire, etc ...
Il retourne le paquet faces en bas et pose les quatre premières cartes sur le tapis, en ligne (rouge, noire, rouge, noire).
Il montre qu'il lui reste évidemment deux rouges et deux noires.
Un petit geste, et maintenant il a en main les quatre cartes rouges. Ces cartes sont mises à l'écart.
Le magicien demande alors au spectateur quelles sont maintenant les quatre cartes sur la table, celui-ci va répondre "les quatre noires".
Ces quatre cartes sont alors retournées faces en haut, ce sont les quatre dames.
C'est simple à suivre, direct, rapide, l'apparition des quatre dames est inattendue, les cartes sont sorties d'un jeu quelconque qui peut être emprunté, cette routine est pour moi excellente.
En plus, on peut enchaîner directement sur Les Quatre Dames de Larry Jennings (The Visitor), ce tour étant un très bon moyen de les produire.
La cartomagie a certes évolué depuis les années 70, et je stigmatise souvent ceux qui restent accrochés à cette magie et aux standards et effets de l'époque, mais il n'empêche que certains tours sont des classiques qui ont traversé le temps sans prendre une ride.
Il y a aussi le fait que quand des Larry Jennings et autres de l'époque créaient des routines, c'était quand même très souvent bien meilleur que le même genre de routines créées de nos jours (couplet "c'était mieux avant", j'assume !).
A noter quand dans la version "classique" on fait deux fois un comptage Elmsley.
Pour ma part je fais une version où pour montrer les deux cartes rouges et les deux cartes noires restantes je fais un comptage Ascanio, double dessus.
Cela me positionne automatiquement pour pouvoir montrer quatre cartes rouges.
Recompter les cartes pour "prouver" qu'il y en a bien quatre n'est pas, à mon sens, une bonne idée, surtout si on peut s'en passer.
Pour le spectateur il n'y a que 8 cartes, donc si j'en pose 4 sur la table il m'en reste forcément 8. C'est différent de remontrer l'alternance rouge-noire et juste compter pour compter.
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